La nuit, toutes les plages sont grisantes.
Chacune reçoit l'eau qui arrose
Ses galets, son sable, ses coquilles,
Ses dunes avalant ce qui s'y pose.
La nuit, toutes les plages attendent
La même aube, le même soleil levant,
Le même ciel encore là qui resquille
Au-dessus de ce sol sous le vent.
La nuit, toutes les plages sont pareilles.
Ton sable est très loin du mien,
Ma plage est chétive, timide, une vétille,
Mais elle est bien à moi, et j'y tiens.
bienvenue en ce jour gris, l'idée du sable même si il est loin...
RépondreSupprimerah, caro, chez moi, plein soleil, on est rôtis !
RépondreSupprimerIci, c'est surtout galets mais c'est bien quand même. Avec du soleil, par contre ça serait mieux.
RépondreSupprimerBravo.