Sur le pont des soupirs,
Naissent les désirs
Se dressant sous la forme
D'une antenne filiforme.
Sur le pont des soupirs,
Les plaisirs s'aiguisent
Les corps chavirent
Les sens s'épuisent.
Mais l'amour n'est pas un feu
Qu'on tient dans la main,
Cette braise éteinte au matin.
Non, l'amour n'est pas un jeu
Que l'on danse sur un pont,
Mais un soupir poussé à l'unisson.
Superbement beau, Sebarjo, w-a-o-u-h !
RépondreSupprimerEt bravo pour la forme, c'est très habilement tissé.
Oh, un sonnet !
RépondreSupprimerBravo !