Que l’on n’est jamais sûr de voir
Le bout du tunnel
Quand on est à l’ombre.
Que les sœurs songent à la douceur
D’aller là-bas vivre ensemble.
Que l’homme qui a perdu son ombre
S’appelait bien Peter Schlemihl.
Que Lucky Luke tire plus vite
Que la sienne.
Que ça ne sert à rien de faire la manche
Dans le tunnel qui passe dessous.
Qu’il y a un tunnel sous le Channel
Et rien sur Marilyn que du n° 5.
Que Du Bellay préfère à l’iode et l’air marin
La douceur angevine.
Qu’un soudeur soude avec beaucoup plus de douceur
S’il soude au cul d’une diabolique
Que s’il soude au cul d’une facile
(gazouillidiot de Fukushima)
Que la bêtise de Cambrai
Le gars de Roubaix la redoute
Et les Trois suisses aussi.
Que celle de Bob Morane est jaune
Et que celle de Tintin est bleue comme une orange.
Que je n’ai jamais vu
L’ombre d’un doute.
Re-doute-able !!!
RépondreSupprimer(Hugues Aufray, 1977, introuvable sur le Web)
Parmi ces ombres celle du soudeur m'a particulièrement plu! Bel exercice Mister Joe
RépondreSupprimerBravo ! :-)
RépondreSupprimerMa préférée celle avec Marylin,