Il est des paroles qui ne devraient servir qu'une seule fois
Mais toi, tu dis : « j’achète »
A tout bout de champ
Et puis tu vends.
Dans ton fauteuil
Tu joues les écureuils
Tu amasses
En masse
Plein de fric
Tu sèmes la panique
Sur les marchés
Et ça t’fait bien marrer.
Sur le dos des pauvres gens
Tu comptes ton argent.
Je n'ai jamais compris comment il peut y avoir tant de socialistes riches et tant de socialistes pauvres. Personne ne nous explique jamais rien chez moi. ;-)
RépondreSupprimerJ'adore l'allusion à l'écureuil, c'est excellent !
Comme une petite comptine qui cache sous son rythme la gravité ! J'aime beaucoup Anne Marie, une belle participation !
RépondreSupprimerSera-t-il heureux pour autant ?
RépondreSupprimerMieux vaut être généreux sans argent que ...
Joli texte ! Bravo Anne-Ma !
Eh ben ouais ! Il est comme ça, l'onc' Picsou !
RépondreSupprimer;-)