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| Merci à www.photo-libre.fr pour l'image |
Si j'avais eu ma guitare aujourd'hui, j'aurais brûlé mes doigts à retrouver mes arpèges oubliés,
Pour qu'ils couvrent mes mots, absorbent tant de larmes et les changent en espoir.
Crois-tu vraiment qu'on puisse esquiver, prétexter, différer, oublier alors qu'on dit aimer ?
Peut-on être affairé, fatigué à ce point qu'on en oublie les mois, les jours, même les siens ?
Amnésie d'une mise à distance, d'autres priorités ou de comptes à régler...
Non, je ne dirai pas comme à mon habitude : "ça ne fait rien".
Un jour peut être tu sauras à ton tour que tout ne fait pas rien,
Et ce jour là peut être, bien amicalement, tu penseras à moi.
Une autre musique, brodée d'amertume, de l'aigre-doux, mais ah, si belle.
RépondreSupprimerJ'ai beaucoup aimé l'image ... et le reste a suivi.
SupprimerLa musique adoucit les mœurs et s'envole.
Des mots sur l'oubli, le manque d'amour, la rancoeur... comme un élixir
RépondreSupprimerUn petit onguent en musique ;)
RépondreSupprimerQuand l'oubli s'installe, l'amour se meurt...
RépondreSupprimerCette émouvante et criante complainte le ravivera-t-il ?
Jolie musique, Santoline !
Je te rassure : un petit coup de canif qui blesse mais ne tue pas.
RépondreSupprimerMerci sklabez