Prendre un bon kilo de pauvreté, une louche de chomage, deux
cuillérées à soupe d'intolérance, touiller énergiquement puis faire
mousser en
fouettant.
Recouvrir d'un voile, laisser reposer en attendant que l'appareil se soulève.
Ajouter
au choix, un grand verre ( pas de bol) de révolte, ou de lâcheté, selon
le résultat escompté et enfin un poil (pas dans la main) de dédain.
Enfourner four très chaud par temps gris.
Sortir du four, arroser d'un verre à liqueur de cynisme et flamber.
J'ai souvent lu des recettes qui servent à nous nourrir des idées, mais la tienne est une des meilleures que j'aie pu lire, et je t'en félicite.
RépondreSupprimerEt si c'est pas bon, ce sera la faute à la crise !!
RépondreSupprimerGrand bravo pour ta recette, c'est bien trouvé et (hélas) dans l'air du temps.
RépondreSupprimerOn est tous condamnés à utiliser cette recette, avec des variantes ou pas. Ou alors à faire les fous et à vivre en dehors de son temps plutôt qu'avec ou contre. Bref c'est compliqué et je m'embrouille. Alors du coup je retourne à mes fourneaux. de toute façon, ma devise à moi c'est il faut vivre pour manger et non pas manger pour vivre ! ;-)
RépondreSupprimerQuand Santoline s'inspire de son grimoire et nous réinvente le cocktail...
RépondreSupprimerMolotov ;-)