Si cela peut te consoler, tu n'es pas le premier Français à recevoir de mes critiques pour trop de syllabes pour les lignes. On dirait que les liméricks s'écrivent plus facilement en anglais. Lui, prof de français, s'est sérieusement fâché contre moi, hélas.
Voici la mienne, la plus célèbre (je l'ai écrit quand j'étais encore à l'école, pas trop longtemps après les chirurgies de Michael Debakey :
There once was a fellow named Joe Who needed one transplant, to go! As they came to his bed He sat up and said, "My heart's just not in this, you know."
J'ai en effet une curieuse façon d'identifier les syllabes. Je les avais décomptées comme suit : C'é-tait Blan-chette la pe-tit' chèvr' ... Dé-tal' bi-quett' brû-lant' de fièvr'
J'apprécie beaucoup tes conseils et je ne perds pas espoir, j'y arriverai un jour...
Je ne sais pas si c'est limerick le coupable, mais je vais en référer à BB !, pauvre biquette ! ;) PS : Joye : il faudra nous donner le mode d'emploi de la poésie limerick... nous aussi on veut apprendre :)
Rassure-toi, Santoline, la petite biquette s'en est sortie. L'intransigeant Limerick ne m'a pas autorisé à le dire. Avec lui, c'est arrêt impératif au cinquième vers ;-)
J'ai l'impression d'avoir coupé quelque chose, mais c'est tout ce que j'ai eu dans le fichier joint, tu me diras si j'ai mal fait.
RépondreSupprimerEn attendant, B-R-A-V-O !
Non, non, tu n'as rien coupé, tout y est.
SupprimerMerci joye !
C'était une tentative "limerickienne" ;-)
Ah !
RépondreSupprimerIl y a trop de syllabes :
C'é-tait-X, la pe-ti-te chè-vre (il faudra changer son nom)
Cour-sée par un chien, bave aux lè-vres (nickel)
Sur son dos, le di-abl' (nickel)
Chas-seur in-trai-ta-bl' (nickel)
La bi-quet-te bru-lait de fi-è-vre (ou quelque chose d'autre, autrement, il y a trop de syllabes)
Cela dit, je dis BRA-VO, bis !
Si cela peut te consoler, tu n'es pas le premier Français à recevoir de mes critiques pour trop de syllabes pour les lignes. On dirait que les liméricks s'écrivent plus facilement en anglais. Lui, prof de français, s'est sérieusement fâché contre moi, hélas.
SupprimerVoici la mienne, la plus célèbre (je l'ai écrit quand j'étais encore à l'école, pas trop longtemps après les chirurgies de Michael Debakey :
There once was a fellow named Joe
Who needed one transplant, to go!
As they came to his bed
He sat up and said,
"My heart's just not in this, you know."
;o)
J'ai en effet une curieuse façon d'identifier les syllabes.
SupprimerJe les avais décomptées comme suit :
C'é-tait Blan-chette la pe-tit' chèvr'
...
Dé-tal' bi-quett' brû-lant' de fièvr'
J'apprécie beaucoup tes conseils et je ne perds pas espoir, j'y arriverai un jour...
Ah oui, c'est comme pour une chanson alors ! Honte à moi.
SupprimerTu es vraiment grâcieux, SklabeZ, c'est merveilleux. Merci.
Non ! Pas honte à toi !
SupprimerContinue de me corriger chaque fois que nécessaire, j'apprends beaucoup avec toi.
Dis à ta maman qu'elle a mis au monde un vrai gentleman.
SupprimerJe ne sais pas si c'est limerick le coupable, mais je vais en référer à BB !, pauvre biquette !
RépondreSupprimer;)
PS : Joye : il faudra nous donner le mode d'emploi de la poésie limerick... nous aussi on veut apprendre :)
Rassure-toi, Santoline, la petite biquette s'en est sortie. L'intransigeant Limerick ne m'a pas autorisé à le dire. Avec lui, c'est arrêt impératif au cinquième vers ;-)
SupprimerAvec plaisir, dame Santoline :
Supprimerhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Limerick_%28po%C3%A8me%29
merci :)
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