La mansuétude, cette bienveillance
L'homme en manque, où est son intelligence,
En pillant la Terre
A tort et à travers,
(Et tout comme un voleur
Qui ne trouve rien à voler, vite,
Une poignée de sable emporte...)
Il lui faut posséder, qu'importe
L'insignifiant ou la pépite
Mortel il s'oublie, quelle erreur... !
Et si la Terre, ce bijou,
Pareille à un hiver
Blanche, froide, nue
Ne se réveillait plus,
Saignée à mort, dernière ère
Rendue à l'état de caillou...
La terre anéantie, Oui c'est bien là où courent les hommes qui s’imaginent faire leur bonhomme de chemin
RépondreSupprimerTriste constatation.... merci Jak
RépondreSupprimerEt oui et si ... se sera peut-être une triste réalité un jour
RépondreSupprimerBravo pour se poème qui fait réfléchir j'aime beaucoup Jill bill
Qu vivra verra comme dit le proverbe... merci Bongopinot
RépondreSupprimerEh oui, c'est le futur de notre planète qui mourrait même si l'on ne la tuait pas. Quelle chance d'y vivre maintenant !
RépondreSupprimerOui Joye ;-) merci...
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