- N’y vas pas. Je te dis que ça glisse. Voilà, je te l’avais dit ! C’est malin.
- Tu es toute en vrac, maintenant ! Débrouille-toi. Salut.
- Aïe, j’ai mal. Aide-moi, je n’arrive pas à me relever.
- J’en ai marre. C’est chaque fois pareil. Mademoiselle, n’en fait qu’à sa tête, et c’est à moi de réparer les dégâts. C’est bien fini. Tchao, je m’en vais. Je vais être en retard à mon rendez-vous.
- Ne me laisse pas ! Je te promets de ne plus jamais te laisser tomber.
- Tu le jures ! Sur ta tête ! Si tu la voyais, en ce moment, même toi, tu ne lui ferais pas confiance.
- Je te promets de partager mes provisions l’hiver. Et de t’écouter chanter tout l’été.
- Et qui me nourrira, quand la bise viendra ?
- Tu chanteras, et je ferai la manche. Marché conclu ?
- Marché conclu. Tope-là. Mais qu’est-ce que tu fais ? Tu m’écrab…
- Et tu y as cru à la fourmi prêteuse ?
Entr'aide par Jacou
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et bien moi j'y crois en tout les cas un texte rafraichissant merci pour ce bon moment de lecture
RépondreSupprimerEt oui Jean l'a dit il y a longtemps, rien ne change ici bas... ;-)
RépondreSupprimerOh ! la vilaine fourmi ! Par contre, le texte bien agréable à lire. Bravo.
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