La pluie martèle le pavé
Tête en vrac corps fatigué
Tu longes les murs, les barrières
Sur ton visage ruisselle l'eau
De petites gouttes comme des larmes
Rajoute encore à ton drame
Ton dos se voute trempé jusqu'aux os
Tu doutes de tout tu doutes de toi
Mais comment en es-tu arrivé là
Une peur de l'avenir que tu ne maîtrises pas
Laisse-toi guider jour après jour mois après mois
Ce que l'homme redoute le plus
C'est souvent ce qui lui convient
Ne sombre pas le soleil arrivera c'est certain
Alors abrite ton coeur attends que ça passe
Jusqu'au jour de ton voyage de lumière
Où tout s'éclairera et tu seras plus fort
Plus de peur, tu comprendras tes efforts
Et tu briseras tes murs de prison, tes barrières
Une peur de l'avenir bien compréhensible, alors un peu de soutien fait du bien merci Bongopinot ! ;-)
RépondreSupprimerMerci à toi Jill bill et à bientôt
RépondreSupprimerDifficile de ne pas avoir peur de l'avenir par les temps qui courent, mais comme dit Jill bill le soutien, ça aide bien. Bravo bongopinot pour ton texte. :-)
RépondreSupprimerMerci Anne-Ma pour ton sympathique commentaire
RépondreSupprimerMerci pour ce beau texte, d'actualité.
RépondreSupprimerOui, rallumons les lumières, brisons les barrières. Belles utopies. Il faut y croire.
Merci beaucoup Jacou
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