T'étais habillé
comme l'as de pique
Un bouquet de
chardons à la main
Tu lui as fait ta
déclaration
Et tu t'es pris
un pique
Elle t'a dit
:"surtout ne reviens pas demain"
Et là, t'as perdu
tes illusions
Depuis, t'as une
épine dans le cœur
T'aurais gagné
ton temps
Et sûrement ton
bonheur
A réfléchir et à
venir élégant
Un bouquet de roses à la main
Fleurant un doux
parfum.
Et, c’est certain
maintenant
Tu peux te
targuer en pleurant
D'être un piètre
prétendant.
Tu as expertement tissé tous les éléments et le résultat est super !
RépondreSupprimerBeau retour sur ce blog, Anne-Ma !
Ravie que tu sois là. ♥
Merci beaucoup, ma Joye :-)
SupprimerEt merci à toi d'être revenue à un mot, une image, une citation, car ça me manquait vraiment. Tu m'aides à écrire.
♥
Très habilement mené!
RépondreSupprimerIl ne lui reste plus qu'à trouver un trèfle à 4 feuilles pour éviter de rester sur le carreau!
Sourire d'Ep'
Merci Epamine :-)
SupprimerCelle qui te fait perdre tes illusions
RépondreSupprimerne mérite tout au plus qu'un bouquet de chardons...
Très jolie histoire, Anne-Ma, et si délicieusement racontée !
Oui, mais déclarer sa flamme avec des chardons, ce n'est pas terrible quand même ;-) - Merci Sklabez
SupprimerSuper Anne Ma ! bien belle manière de répondre à la consigne en la détournant de façon romancée et poétique.
RépondreSupprimerContente de te retrouver ici
Merci beaucoup Santoline :-)
SupprimerRavie de te voir aussi et j'ai hâte de te lire.
Oh oui alors, un bouquet de chardons, a t-on idée.... mes félicitations également, jill
RépondreSupprimerMerci beaucoup, Jill :-)
SupprimerBravo ! Vraiment ce n'était pas facile de mêler le mot, l'image et la citation. Belle réussite !
RépondreSupprimerMerci beaucoup, Monsieur Joe :-)
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