J'ai encore en mémoire
Le fameux 22 à Asnières
D'un certain Fernand Raynaud énervé
Et son allô New-York...
La patience est un art
difficile... « Norlane Deliz »
Ah ce fixe publique
Un temps sans GSM
Pour se dire je t'M
Dans tous les coins de la
république...
Un temps où le progrès
N'était ni dans toutes les maisons
Ni dans la poche du veston
Mais quelque part sur le pavé
Comme la sardine
Dans le port de Marseille
Téléphone en cabine
Nourri à la petite oseille
La pièce entendez par-là
Pour joindre l'autre et l'un
Privilégiés ici-bas
Le prolo pas dans le bottin...
Allô, deux syllabes journalières
Distribuées à tout va
En mode portable... Allô Pierre
Jean, Jacques... et blablabla... !
Ta rapidité me coupe le souffle !! Et puis d'ailleurs, c'est toujours bon !
RépondreSupprimerTu me fais penser à quand je devais aller à la petite poste française pour téléphoner chez mes parents aux Zuesses - je pense que plus personne ne travaillait pendant que je parlais aux cabines. ;-)
Mais c'était il y a longtemps. À l'époque d'Astérix, quoi. :-D
RépondreSupprimerMerci Joye... eh eh !
RépondreSupprimer;-)
SupprimerNon mais allô, quoi !
RépondreSupprimerAllô Jill bill ! juste pour te dire merci pour ce 22 à Asnières que je viens ...
RépondreSupprimergrâce à toi.. de revoir ;)
et vive le progrès qui nous permet de nous réunir ici !
Fernand Raynaud a donné ses lettres de noblesse au téléphone: entre le 22 et "Dis, Tonton, pourquoi tu tousses?", c'est de belles pages de l'histoire du téléphone qu'il a écrites là!
RépondreSupprimerJ'aime bien ton portrait du téléphone public... et de ses descendants...
Merci Bongopinot, merci Epamine...
RépondreSupprimerJe suis bien d'accord, comme toujours : ce sera mieux hier !
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