Allô... par Jill-Bill

J'ai encore en mémoire

Le fameux 22 à Asnières

D'un certain Fernand Raynaud énervé

Et son allô New-York...

La patience est un art difficile... « Norlane Deliz »



Ah ce fixe publique

Un temps sans GSM

Pour se dire je t'M

Dans tous les coins de la république...

Un temps où le progrès

N'était ni dans toutes les maisons

Ni dans la poche du veston

Mais quelque part sur le pavé

Comme la sardine

Dans le port de Marseille

Téléphone en cabine

Nourri à la petite oseille

La pièce entendez par-là

Pour joindre l'autre et l'un

Privilégiés ici-bas

Le prolo pas dans le bottin...

Allô, deux syllabes journalières

Distribuées à tout va

En mode portable... Allô Pierre

Jean, Jacques... et blablabla... !

9 commentaires:

  1. Ta rapidité me coupe le souffle !! Et puis d'ailleurs, c'est toujours bon !

    Tu me fais penser à quand je devais aller à la petite poste française pour téléphoner chez mes parents aux Zuesses - je pense que plus personne ne travaillait pendant que je parlais aux cabines. ;-)

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  2. Mais c'était il y a longtemps. À l'époque d'Astérix, quoi. :-D

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  3. Allô Jill bill ! juste pour te dire merci pour ce 22 à Asnières que je viens ...

    grâce à toi.. de revoir ;)

    et vive le progrès qui nous permet de nous réunir ici !

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  4. Fernand Raynaud a donné ses lettres de noblesse au téléphone: entre le 22 et "Dis, Tonton, pourquoi tu tousses?", c'est de belles pages de l'histoire du téléphone qu'il a écrites là!

    J'aime bien ton portrait du téléphone public... et de ses descendants...

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  5. Merci Bongopinot, merci Epamine...

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  6. Je suis bien d'accord, comme toujours : ce sera mieux hier !

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