Le voleur qui ne trouve rien à voler
Emporte une poignée de sable rosé
Espérant y découvrir une perle cachée
Car il n’est pas interdit de rêver
Rêver, c’est tout ce qui lui reste
Dans son destin bien funeste
Et ce sentiment que proche sera la fin
Et son estomac tiraille c’est la faim
La faim, ce mal qui le force à voler
Pour son corps tout entier se réchauffer
Part en quête de quelque chose à manger
Dans l’hiver glacial des cœurs usés
Usé comme ce monde sans aucune mansuétude
Où les gens l’oublient seulement par habitude
Et comme pour aller de l’avant
Il jette un peu de paille au vent
Au vent froid qui lui offre une pomme
Et il court dans cette neige et slalome
Entre la foule et frôle tous ces gens
Et il pique dans leurs poches un peu d’argent.
Bonsoir Bongopinot... devoir en arriver-là, parce que plus rien dans les mains, son travail son pain... et les restos du coeur qui ne savent plus où donner de l'assiette ! Et en ce décembre festif comme ça doit faire encore plus mal... merci, jill
RépondreSupprimerEt oui tous ces long hivers des restos du cœur et pour combien de temps encore heureusement bénévolat et don fonctionnent
Supprimermois de décembre égal fête mais pas pour tous
Merci à toi Jill bill
J'♥ ce texte;; il fait suite ou précède le mien, car éternel recommencement
RépondreSupprimerde la misère
J'ai bien aimé ton texte également et effectivement on se retrouve dans l'éternel recommencement de la misère il y a tant à dire triste réalité
SupprimerMerci JAK
Amitiés
Très émouvant, bongo !
RépondreSupprimerUn grand merci à toi Joye
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