En arrêt
Devant un tableau
A dévisager Matisse
Enfin son nu bleu,
Cinquante-deux...
Année ou pièces, que cette esquisse,
Femme façon morceaux
A emboîter... !?
Sourire,
Puis rire...
Seul me croyant devant ce nu
Ni vu ni connu...
Ah la peinture et ses maîtres
Sur mon être
Me font le même effet
Qu'une blague de cabaret...
« Année bien sûr !»
Me souffle un gardien
Qui en pince pour elle...
Et entre ses murs
Me sort du Guilleaumes Romain
Tel quel...
« Ne sont innocents que les coupables
Qui se dissimulent ou qui s'ignorent... »
Ai-je une tête de voleur
Songe-je tout bas, en sueur,
Entre autre...
Une tête à voler la femme d'un autre...
excellent Jill-Bill merci pour cet agréable moment de lecture
RépondreSupprimerMais merci aussi Bongopinot... ;-)
RépondreSupprimerJill, ce poème est très réussi, et les deux dernières lignes, perfection ! Brava !
RépondreSupprimerMerci Joye, j'essaye de faire au mieux avec les imposés.... ;-)
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