A la fenêtre de ma vie
Un secret suspendu se balançe et s'enfuit
Comme un citron préssé s'évapore sans bruit.
Blottit, au creux de chaque mot, il danse
Comble la page blanche, enfle et vit
Léger, il me suit.
Mais c'est au fond du silence
Qu'il est encore le plus grand
Patiement il attend.
Que cesse en moi l'envie
De le croire ou de le craindre
Pour le dire.
Et quand tu le diras ce sera délicatement et en douceur, comme tout ce qui passe par la fenêtre de ta vie.
RépondreSupprimerMerci pour ce beau poème, Lise.
Elle est jolie ta fenêtre ouverte sur la liberté.
RépondreSupprimerMerci
Gracieux et beau, Lise, très beau ! ♥
RépondreSupprimerun secret écrit à l'encre sympathique et qui un jour se révèlera
RépondreSupprimerUn poème tout en douceur pour un secret en apesanteur. C'est beau, Lise.
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