L'innocence par Dominique

Veuillez Monsieur  Balzac excusez mon propos
Et si de vos romans j'aime lire les mots
Je bute voyez-vous en tant que simple lectrice
Sur la phrase consignée en "César Birotteau"
"Oublier est le grand secret des existences fortes et créatrices"
Je vois mes deux enfants rirent à l'unisson
Sur le ponton de bois longeant notre maison
Fixant dans l'aloès que l'on nomme "candélabre"
Les “oiseaux de paradis” qui volettent dans l'arbre
Et tous ces gais instants liés à l'innocence
Je souhaite que dans leur existence
Ils se souviennent à jamais

7 commentaires:

  1. Bonjour Dominique, s'il y a des choses que l'on met à coeur d'oublier d'autres... ben non alors ;-) Bises, jill

    RépondreSupprimer
  2. oui qu'ils n'oublient pas ces instants ... Dans un coin de leur cœur il ne seront jamais éphémères
    J'♥ ce texte pour sa fraicheur

    RépondreSupprimer
  3. Simple lectrice peut-être mais une bien belle façon d'écrire chère Dominique j'ai beaucoup aimé ton texte si doux et rafraichissant

    Bravo :-D

    RépondreSupprimer
  4. Merci à Vous ; Joye, Jill, Jak :-)

    RépondreSupprimer
  5. Oups une seconde trop tôt ...

    Merci aussi Bongopinot ! :-)

    RépondreSupprimer
  6. Eh oui, la mémoire est aussi bizarre que cette citation de Balzac ! Oublier ? Il faut sûrement en laisser sur le bas-côté de la route, on ne peut pas tout porter, et délester son baluchon permet de le remplir de choses nouvelles. mais tout oublier, c'est dommage, car il faut quand même se nourrir en route. Donc, moralité (à mes yeux) : oublier, sans tout oublier (c'est ce que j'ai dit dans mon texte).
    Et donc, surtout ne pas oublier l'essentiel, le beau, les leçons... Et un peu de superflu aussi, sinon, la vie ne serait que triste !!!

    RépondreSupprimer