Veuillez Monsieur Balzac
excusez mon propos
Et si de vos romans j'aime lire les mots
Je bute voyez-vous en tant que simple
lectrice
Sur la phrase consignée en "César
Birotteau"
"Oublier est le grand secret des existences
fortes et créatrices"
Je vois mes deux enfants rirent à
l'unisson
Sur le ponton de bois longeant notre
maison
Fixant dans l'aloès que l'on nomme "candélabre"
Les “oiseaux de paradis” qui volettent dans
l'arbre
Et tous ces gais instants liés à
l'innocence
Je souhaite que dans leur existence
Ils se souviennent à jamais
Très beau, Dominique !
RépondreSupprimerBonjour Dominique, s'il y a des choses que l'on met à coeur d'oublier d'autres... ben non alors ;-) Bises, jill
RépondreSupprimeroui qu'ils n'oublient pas ces instants ... Dans un coin de leur cœur il ne seront jamais éphémères
RépondreSupprimerJ'♥ ce texte pour sa fraicheur
Simple lectrice peut-être mais une bien belle façon d'écrire chère Dominique j'ai beaucoup aimé ton texte si doux et rafraichissant
RépondreSupprimerBravo :-D
Merci à Vous ; Joye, Jill, Jak :-)
RépondreSupprimerOups une seconde trop tôt ...
RépondreSupprimerMerci aussi Bongopinot ! :-)
Eh oui, la mémoire est aussi bizarre que cette citation de Balzac ! Oublier ? Il faut sûrement en laisser sur le bas-côté de la route, on ne peut pas tout porter, et délester son baluchon permet de le remplir de choses nouvelles. mais tout oublier, c'est dommage, car il faut quand même se nourrir en route. Donc, moralité (à mes yeux) : oublier, sans tout oublier (c'est ce que j'ai dit dans mon texte).
RépondreSupprimerEt donc, surtout ne pas oublier l'essentiel, le beau, les leçons... Et un peu de superflu aussi, sinon, la vie ne serait que triste !!!