Pour quelques Yuan
Telle une bête de
somme, un âne
Nus pieds, peau brûlée
par le soleil, le sel...
Badin... ! Pas le temps à la chose
Quand passe Chih-Nii à bicyclette
Sur le chemin des
emplettes,
Un peu de riz on
suppose...
Vaut mieux lequel
D'avoir des remords ou
des regrets...
Il ne s'attarde pas en
pensées
Il se fait vieux Chang pour l'autel !
Chih-Nii repassera dans sa blouse
Au soleil qui cogne
fort, blessure sournoise
Et Chang à l'ombre chinoise
Plus fidèle qu'une
épouse
Lèvera un oeil sur
elle
Avec juste un sourire
aux lèvres
Le front en fièvre
A pelleter le sel...
On se rejoint Bill jill l'amour n'a pas d'âge bravo pour ton si doux poème
RépondreSupprimer
RépondreSupprimerdécidément nous avons été inspirées , toutes les 3(bongo toi & mi ) par ce climat particulier des pays du soleil levant qui portent si bien au rêve et à la poésie
je les ai cependant vu en plus tristes que vous deux
amitiés bloggeuse
Oui Bongopinot... ;-) merci, jill
RépondreSupprimerC'est un défit fort plaisant ma foi, à vous lire bientôt Jak alors... merci, jill
Quel dommage pour Chang, pas le temps de badiner alors qu'il la voit passer tous les jours. Tiens, vous avez eu la même idée Bongo et toi (à peu près).
RépondreSupprimerDéfi plaisant, oui, difficulté de taille malgré tout (je n'ai toujours pas réussi à trouver l'angle par lequel je dois attaquer, pourtant, je suis davantage salé que sucré... Comme quoi !)
Bravo à vous toutes, vous avez été inspirées, pour le coup !
Merci Nhand... Laisse parler tes émotions, ton ressenti, sois ce saunier, ça coulera de source, ;-)
RépondreSupprimerUn grand bravo !
RépondreSupprimer« Au soleil qui cogne fort, blessure sournoise »
Oh oui. À retenir, comme un proverbe d'Asie. Très bien trouvée !
Merci Joye, au plaisir...
RépondreSupprimerUn amour fort et platonique qui brûle Chang comme un soleil !
RépondreSupprimerBises Jill à plus
Dominique
Merci Dominique... ;-) à plus !
RépondreSupprimer