Les propos calomnieux
Sont bulles de savon, fillette
Qui dans les cieux
Eclatent au-dessus de nos têtes...
On te qualifia de légère
Quand d'autres bras inconnus
Un soir sous un réverbère
Te consolèrent en rue...
Et la nouvelle alla tout de go
De seuil en seuil
Tel un agile écureuil
Qui casse le sucre sur votre dos...
Si la nuit est noire
C'est pour que rien
Ne puisse nous distraire de nos cauchemars,
Pas même une main
Tendue en amie,
La rumeur édifice s'est abattue
C'est toi que l'on a dit
Mauvaise, toi la fille battue...
On dirait du Brassens !
RépondreSupprimerTu sais que je le préfère à Brel... ;-)
RépondreSupprimerMagnifique un poème tout en légèreté bravo
RépondreSupprimerMerci Bongopinot....
RépondreSupprimerC'est toujours terrible ce genre d'histoire, ça me fait penser à ces filles agressées sexuellement de qui les calomnieux mauvais disent parfois : normal, avec une telle tenue, que les garçons lui sautent dessus ! C'est n'importe quoi, c'est révoltant !
RépondreSupprimerEh oui Nhand comme tu dis, merci...
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