Me regardent de
guingois
Dans mes vieux
godillots
Ma barbe, mes
guenilles
Quand je mendie
Quelques euros
De quoi
Tenir jusqu'au soleil
suivant...
Il y a le pressé, le
curieux, l'hébété
Sur mon chemin de
malheur,
Celui qui ne donne
jamais
Celui qui me défigure
Celui qui la tête
hoche
Et moi qui insiste
Insiste de la main, du
regard, dans ma bosse
Il faut savoir avoir
raison sans choquer
Il faut aussi se
tromper sans commettre d'erreur...
J'en aurai sa monnaie
Comme son mépris à la
figure,
Moi pauvre Jean de la
cloche
Triste sire parmi les
tristes
Un pont'eux comme
disent les gosses...
Parfois est dur le regard de l'autre un texte réaliste sur les jours difficiles
RépondreSupprimerBravo
Merci Bongopinot...
RépondreSupprimerEn te lisant, j'ai entendu chanter Brassens. Brava, Jill !
RépondreSupprimerMerci Joye... le début en effet fait référence à Georges.... ,-)
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